jeudi 7 mars 2013

Chiang Mai et Chiang Dao, vers la culture du Nord - Einblicke in eine andere Welt (26.2-3.3)

En quittant Phang-Nga, nous savons qu’un long trajet nous attend pour atteindre les terres du Nord.

Nous rejoignons d’abord Surat Thani en 3 heures de bus, et passons l’après-midi dans cette petite ville souriante aussi appelée « la ville des bonnes gens ». De là, un train de nuit nous emmène à Bangkok en 12 heures, et un autre nous permet d’atteindre Chiang Mai en un peu plus de 13 heures. Si le trajet est long, les trains sont confortables et cela nous laisse le temps de planifier la suite du voyage. Les paysages se succèdent, nous quittons les palmiers pour voir apparaître les rizières, les montagnes font place aux plaines, la vue dégagée nous permet de voir à l’horizon un paysage accidenté se rapprocher, nous sommes presque arrivés.


Avec le retard du train, nous arrivons à Chiang Mai à 22 h, sans logement. Un tuk-tuk nous conduit à l’auberge que nous avions choisie, et arrivés devant, c’est le drame, elle est fermée. Le tuk-tuk est déjà reparti, nous allons donc dans l’auberge suivante, fermée également, la suivante aussi, et ainsi de suite. Au septième essai, nous voyons une Guesthouse encore allumée. La dame à l’accueil s’apprête à aller se coucher et se met déjà de la crème de nuit. Il ne lui reste plus qu’une chambre. Nous sommes soulagés, la chance a tourné.

Le lendemain, nous partons visiter la ville. Ancienne capitale du royaume de Lanna construite au XIIIème siècle, Chiang Mai est chargée d’histoire. Les vestiges de sa vieille ville fortifiée, la multitude de temples aux toits à plusieurs niveaux recourbés vers le ciel, les chedis pluri centenaires (ou stupa, il s’agit d’un monument essentiel du bouddhisme, commémorant la mort du Bouddha ou accueillant des reliques), les bonzes allant quêter leur nourriture et la bonne ambiance qui y règne font qu’il est facile et agréable de déambuler dans ses rues malgré la chaleur étouffante du jour (des pics à 42°C lors de notre passage).


Nous visitons donc plusieurs temples, dont le Wat Phan Tao, un superbe bâtiment en teck et ancien palais royal. Comme d’habitude avant d’entrer dans un temple, je m’apprête à me couvrir les jambes quand un homme m’interpelle « Not you, Bouddha is a man, not gay ». Pour cette fois, je peux donc entrer en short. Autre temple intéressant, le Wat Chedi Luang, dont le chedi de style lanna date de 1441 et a abrité le Bouddha d’Emeraude (cf article sur Bangkok). En flânant autour de l’imposant chedi, un moine nous aborde. Nous en profitons pour discuter avec lui de différents sujets et lui posons tout un tas de questions sur son mode de vie, la méditation, les doctrines du Bouddha et le rapport aux autres religions. L’anglais n’est pas parfait et il est parfois difficile de comprendre les métaphores qu’il emploie pour répondre aux questions, mais nous vivons cet échange enrichissant comme un moment privilégié.
 

Dernier temple notable, le Wat Phra Singh, dans lequel se tient la statue la plus vénérée de la ville, le mystérieux Bouddha lion. Magnifique exemple d’art sacré lanna, personne ne sait pourtant de quand date cette statue ni d’où elle provient exactement. Outre les temples, nous nous baladons dans le dynamique quartier chinois de la ville et passons un moment devant le monument des Trois Rois (Anusawari Sam Kasat), une statue de bronze qui commémore l’alliance au XIVème siècle des trois rois lao-thaïs des royaumes de Payao, de Chiang Mai et de Sukhothai, permettant ainsi le développement du royaume de Lanna.
 

Nous quittons ensuite Chiang Mai pour Chiang Dao, plus au Nord. Nous garderons de Chiang Mai l’image d’une ville décontractée et accueillante, dont la richesse culturelle est palpable.

Chiang Dao n’a absolument rien à voir avec Chiang Mai. La ville n’a aucun intérêt historique ou architectural, ses points forts sont à chercher ailleurs. Située dans une petite plaine au bord d’une rivière, de nombreuses rizières parsèment le paysage. Les montagnes environnantes, à la végétation luxuriante, abritent de nombreux villages de minorités ethniques et sont idéales pour des visites de grottes ou des excursions dans la jungle. C’est pour tout cela que nous avons choisi de venir à Chiang Dao. N’ayant pas trouvé notre bonheur dans les trecks proposés à Chiang Mai (certains ont l’air de faire passer les tribus pour des zoos humains et la plupart incluent des visites de camps d’éléphants, et étant donné la polémique existante sur le trafic d’éléphants sauvages pour alimenter ces camps, nous ne voulions pas prendre le risque de participer indirectement à ces pratiques), nous avons décidé d’organiser notre propre « treck », en version aménagée.
Les distances à couvrir étant relativement grandes, nous avons commencé par louer un scooter pour plusieurs jours. Nous avons ensuite visité en deux fois la Tham Chiang Dao, vaste réseau souterrain de grottes abritant des sanctuaires. Nous devons nous contorsionner en tous sens pour emprunter des passages étroits qui débouchent sur d’énormes salles souterraines aux formes surprenantes. Selon la légende, un ermite aurait vécu 1000 ans dans les grottes et aurait obtenu d’un ange qu’il y crée sept merveilles, parmi lesquelles un lac mystique, un éléphant sacré immortel et une cité de nagas. Rien vu de tout cela mais plutôt des stalactites, des chauves-souris, des criquets des cavernes et des araignées environ grandes comme la main, des bébés selon la guide. Pour finir la journée en beauté, nous partons explorer la campagne environnante et avons droit à un magnifique coucher de soleil sur les rizières.
 
 
Le jour suivant, nous partons à la recherche de villages isolés. Le premier que nous trouvons, après une quinzaine de kilomètres, est un échec complet. Le peu d’habitants que nous voyons nous dévisagent et ne nous répond pas quand on leur parle, nous avions pourtant fait attention à respecter les règles principales lorsqu’on visite un village. Tant pis, nous décidons de continuer et de nous enfoncer encore plus loin dans la campagne. Nous nous mettons donc à suivre des scooters au hasard, qui nous sèment généralement au bout de quelques centaines de mètres, qualité de la route oblige. Petit à petit, nous avançons vers l’inconnu. Nous sommes à présent seuls sur une route en terre au milieu d’une colline, et continuons. Nous passons une forêt, longeons un ruisseau, nous sommes sorti bien au-delà des frontières de la carte dont on dispose, il faut se rappeler de la route. Finalement, nous arrivons à un village.

En entrant, deux dames nous font signe de venir à elles. Nous approchons, l’une des deux est en train de tisser et l’autre sort des sacs renfermant des tissus, sculptures, et autres objets d’artisanat. La maison ressemble à toutes les autres du village. Toute en bois et en bambou, surélevée, elle est munie d’un escalier instable permettant d’accéder au balcon. Là, un métier à tisser est installé. Pendant que nous faisions nos emplettes, une petite tête sort d’un hamac derrière le métier à tisser, et un autre hamac se met à remuer dans la maison. Les deux petits, de 6 mois et un peu plus d’un an, nous regardent avec de grands yeux et s’approchent par curiosité. L’une des dames, Phone, parle un anglais approximatif mais suffisant pour une discussion basique. Nous apprenons être dans d’un village Palaung, une minorité très rare en Thaïlande, moins de 2 000 individus. Les habitants, comme pour la plupart des minorités ici, vivent de ce qu’ils cultivent en pratiquant la culture sur brulis et d’artisanat. La plupart des Palaung sont bouddhistes, mais Phone est une des rares chrétiennes. Le village ne dispose ni d’électricité ni d’eau courante, l’eau utilisée provient du ruisseau en contrebas et la cuisine s’effectue au feu de bois. Elles nous montrent comment elles font la farine de riz, et nous voyons dans un panier en bambou un étrange mélange de riz concassé et de fourmis rouges vivantes, repas du soir. Phone enfile les habits traditionnels de la tribu et Iponie en essaie un, c’est très joli mais difficile à porter par 40°C. En quittant le village, nous sommes à la fois heureux de cette expérience et marqué par un tel choc culturel. Quel décalage entre notre style de vie, confortable mais relativement individuel et basé sur une société d’ultra consommation, et le leur, précaire et fragile certes, mais restant fidèle à leurs racines et reposant sur l’entraide et la solidarité.
 

Le lendemain, nous prenons la direction du Parc National de Chiang Dao. Les chutes d’eau Sri Sang Wan nous apportent un peu de fraicheur avant de faire un nature trail dans la forêt sous un soleil de plomb. Souhaitant ensuite renouveler l’expérience de la veille, nous repartons à l’aventure, cette fois en direction de la frontière birmane. Nous arrivons dans un village Lahu, où une vielle dame nous invite à entrer chez elle. Le village est moins précaire que celui de la veille mais en revanche, nos hôtes ne connaissent aucun mot d’anglais. Nous communiquons donc à l’aide de signes, cartes, dessins (les nombreuses parties de Pictionary ont été utiles), et montrons des photos de nos familles. Les Lahus sont la 6ème minorité ethnique de Thaïlande, ils sont environs 100 000 et viennent du Yunnan, au Sud de la Chine. Le village que nous visitons est chrétien mais des croyances animistes subsistent, notamment les croyances liées aux esprits, bons ou mauvais. Comme la veille, la dame nous montre son vêtement traditionnel et Iponie en essaie un. Les enfants nous tournent autour, s’amusent à nous dire bonjour et essayent de se faire remarquer. Pour eux, nous donnons à leur mère des paquets de gâteaux et des friandises. La bonne humeur des habitants et leur ouverture est remarquable, mais il se fait tard et nous rentrons avant la nuit.
 
Nous quittons ensuite Chiang Dao pour nous diriger encore plus au Nord et passer la frontière laotienne. Ce que nous avons vu et vécu du Nord de la Thaïlande nous a fait tomber sous le charme. La richesse historique et culturelle des lieux, les paysages verdoyants et l’authenticité des relations humaines en font pour nous une destination inoubliable.



Am 25. Februar begann unsere über 24 Stunden dauernde Reise nach Chiang Mai. Wir verließen morgens das Hotel und gedachten, den Bus von Phang-Nga nach Surat Thani zu nehmen. In der Busagentur angekommen zeigten wir unsere Tickets vor, die wir am Vortag gekauft hatten, nur leider erinnerte sich die Dame an ihrem Schreibtisch nicht daran. Obwohl das Datum auf den Tickets stand, sagte sie ständig: „You buy ticket.“ Und wir beteuerten ihr, wir hätten es gestern bei ihr gekauft, jedoch verstand sie uns durch ihr mangelhaftes Englisch leider gar nicht. Letztendlich durften wir dann doch in den Bus steigen und erhielten Ehrenstehplätze mitten im Gang. Zwei Stunden später kamen wir in Surat Thani an und wurden mitten in einer Straße abgesetzt mit den Worten, der Bahnhof befinde sich in 200m Entfernung. Ein bisschen suchen mussten wir schon, aber wir fanden ihn schließlich. Da der Zug erst am späten Nachmittag abfahren sollte, gaben wir unser Gepäck dort ab und spazierten ein wenig durch die Straßen Surat Thanis. 

Unser erster Zug von zweien auf dem Weg nach Chiang Mai hatte eine halbe Stunde Verspätung. Es war ein Nachtzug, und wir waren erstaunt über den Komfort. Sobald sich einer schlafen legen wollte, kam ein Angestellter und verwandelte den Sitz in ein frischbezogenes Bett, ganz anders als in dem muffigen Schiff vor ein paar Tagen. Nico und ich schliefen in einer Art Hochbett über den zu Betten ausgeklappten Sitzen, ebenfalls frisch bezogen. Um 5.30 Uhr kamen wir in Bangkok an, wo wir drei Stunden auf unseren Zug nach Chiang Mai warten mussten. Wir bereiteten uns mental auf weitere 12 Stunden Zugfahrt vor. Auch der Service der zweiten Bahnfahrt war makellos, es gab Frühstück, Mittag sowie einen Nachmittagssnack, so dass der kleine Hunger keine Chance hatte. 


 Leider hatte der Zug nur eine Stunde Verspätung, so dass wir erst gegen 21.30 Uhr ankamen und feststellen mussten, dass die Hotelrezeptionen mehr besetzt bzw. die noch verfügbaren Zimmer zu teuer waren. Wir schauten bei sechs Hotels bzw. „Guesthouses“ vorbei, und erst im siebten Anlauf fanden wir ein Guetshouse, an dessen Rezeption sich die Leiterin gerade die Nachtcreme auftrug und scheinbar im Begriff war, ins Bett zu gehen. Zum Glück hatte sie noch ein Zimmer frei, das unserem Budget entsprach und zudem noch sauber war. Nach den nicht enden wollenden Bahnfahrten und der nicht sehr erholsamen Nacht im Zug schliefen wir erst mal aus, bevor wir die Stadt erkundigten. 

Das Stadtbild Chiang Mais an sich hat nichts Besonderes, es wird vor allem von unzähligen Tempeln geprägt. Besonders der Tempel Wat Phan Tao sticht hervor, denn er besteht im Gegensatz zu den meisten anderen buntbemalten Tempeln aus dunklem Teakholz und wird eher nüchtern gehalten, wodurch er mir persönlich vertrauter vorkam als die anderen Stätten, in denen ich mich wie in einem bunten Vergnügungspark fühlte. Auf dem großen Tempelgelände des Wat Phra Singh im Lan Na-Stil sprach uns sogar ein buddhistischer Mönch an. In bruchstückhaftem Englisch wollte er uns die Grundgedanken des Buddhismus vermitteln und beantwortete unsere Fragen, wobei er diese nicht immer ganz verstand und wir auch nicht seine Antworten. Aber im Großen und Ganzen ist der Buddhismus eher eine Philosophie als eine Religion. Am Abend gingen wir im chinesischen Viertel auf einen Markt und erstanden allerlei Leckereien, wobei wir nicht immer wussten, ob sie süß oder herzhaft waren. Letztendlich hatten wir am Ende nur Süßes im Magen. 


Am nächsten Tag nahmen wir den Bus nach Chiang Dao, wo wir eine einwandfreie und ruhige Unterkunft fanden. Wir mieteten uns einen Motorroller und fuhren in die Höhle von Chiang Dao, die wirklich gewaltig ist und durch die man nur in Begleitung eines Guides mit Petroleumlaterne laufen darf. Der Legende nach lebte in dieser Höhle 1000 Jahre lang ein Einsiedler, der durch das Meditieren den Göttern so nahe stand, dass ihm eine Art „Engel“ geschickt wurde, der ihm sieben Wünsche zugunsten der Höhle erfüllen sollte. Er erbat u.a. eine Stadt der Nagas, der Schlangenwesen und, eine Fontäne mit einem Buddha aus Massivgold. Von alldem jedoch keine Spur, doch die Form der Felsen in der Höhle regt die Fantasie an, so dass man in ihnen Elefanten und andere Tiere zu erkennen vermag. Um von unserem Motorroller zu profitieren, beschlossen wir am Nachmittag, auf gut Glück durch die Landschaft zu düsen und gelangten an ein Reisfeld, an dem wir Zeuge eines wunderschönen Sonnenuntergangs wurden. 


Tags darauf setzten wir unsere Erkundungstour der ländlichen Gebiete um Chiang Dao auf dem Motorroller fort, um mit Dorfbewohnern in Kontakt zu treten und vielleicht sogar ein paar traditionelle Kostüme zu sehen. Das erste Dorf war eine herbe Enttäuschung, die Bewohner schauten uns abwertend an und wir fühlten uns wie Eindringlinge. 
 
Im zweiten Dorf, Maedong, wurden wir auf willkommenere Weise empfangen. Eine Dame rief uns zu sich in eine primitive Behausung und führte uns zu einer anderen, die gerade am Weben war. Letztere, „Phon“, konnte einigermaßen Englisch und demonstrierte uns ihre Webe- und Näharbeiten, darunter Tücher, Taschen und Sarongs (traditionelle Gewände). Wir waren sehr beeindruckt von ihren handwerklichen Fähigkeiten und kauften ihr ein paar Kleinigkeiten ab. Sie erzählte uns, sie habe drei Kinder. Eines schlief in der Hängematte auf der Terrasse, wo sie webte, das zweite war in der Schule und das dritte hatte als Kleinkind einen Unfall, so dass es nun behindert war. Sie zeigte uns sogar den Behindertenausweis. Phon gehörte dem Palaung-Stamm an, einer ethnischen Minderheit, die ursprünglich aus China kommt und durch die politische Unterdrückung nach Nordthailand übersiedelte. Die prekäre Lebensweise des Stamms spiegelte sich in dem notdürftigen Heim Phons wider, in der sie nicht einmal Strom hat, dafür aber fließendes Wasser. Die meisten Angehörigen dieses Stamms sind Buddhisten, während nur ein kleiner Prozentteil christlich ist. Wir hatten hier das Vergnügen mit einer Christin. Phon zeigte uns einige traditionelle Kostüme des Palaung-Stamms, und ich durfte sogar eines anprobieren. Wir verbrachten über eine Stunde bei ihr und waren sehr glücklich über diese Begegnung. Abends auf dem Markt trafen wir sie mit ihrer ganzen Familie zufällig wieder. 


Am nächsten Morgen fuhren wir mit dem Motorroller zu den Sri Sang Wan Waterfalls nördlich Chiang Daos und wanderten ein wenig durch den Nationalpark, bevor wir uns wieder in unbekannte Gebiete wagten, um Dorfbewohner kennenzulernen. Diesmal führte uns der Weg in das Lahu-Dorf Nong Wua Daeng. Eine alte Dame lud uns zu sich ein und stellte uns ihrer Tochter Sara vor, einer Frau in den 30ern, die verheiratet ist und eine einjährige Tochter hat. Während die Bewohner in dem Dorf am Vortag nicht einmal Strom hatten, entdeckten wir hier sogar einen Kühlschrank, und die Kinder waren sauber und nicht schlechter gekleidet als in der Stadt. Die Frau sprach diesmal leider gar kein Englisch, so dass wir uns mit Händen und Füßen verständigen mussten und ihr Fotos von unseren Familien sowie von koreanischen und französischen Gerichten zeigten, an denen sie großen Gefallen fand. Sie zeigte uns eine Bibel in der Lahu-Sprache und gab uns zu verstehen, dass die Bewohner in diesem Dorf Christen seien. Auch sie holte ein traditionelles Kostüm hervor, das ich wieder einmal die Ehre hatte anzuprobieren. 


Unsere beiden Dorfbegegnungen in Maedong und Nong Wua Daeng gaben uns einen kleinen Einblick in die vielfältige thailändische Kultur, zu der auch ethnische Minderheiten gehören, und wir waren dankbar, so offene und wohlwollende Menschen kennengelernt zu haben. Auch wenn die Sprachbarriere den Dialog nicht gerade förderte, so schafften wir es doch, da der Wille da war, uns auf einer anderen Ebene zu verständigen und schöne Augenblicke miteinander zu teilen, so verschieden unsere Kulturen auch sind.

7 commentaires:

  1. สวัสดีค่ะ tous les 2!
    Toujours un plaisir de vous lire et de voir que tout se passe bien. Savez-vous ce que vous faites ensuite? Passez-vous la frontiere a Chiang Khong?
    Aller plein de bisous depuis la grisaille Londonienne!
    C.
    PS:Iponnette, l'habit du Nord te va a ravir!
    Nico, tu peux faire des couettes ou pas encore? ;)

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  2. Beau récit et belle invitation au voyage.
    Bonne continuation.
    Bises à vous deux d'Olivet.
    Pascal

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  3. bonjour les globtrotters!!!!!
    un vrai écrivain mon grand frere....
    on est heureux pour vous profité bien
    sa donne envie.
    on pense fort a vous
    les toulousains

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  4. Coucou à vous deux,

    As-tu eu les réactions de ta mère sur les ....magnifiques photos des araignées.... ??
    Joli documentaire une fois de plus, je sillonne avec vous le pays que vous décrivez si harmonieusement.
    Ici, neige au nord, pluie au centre, quant au soleil, nous on l'attend!
    Gros bisous

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  5. Steht Dir super das traditionelle Gewand!! Ich will auuuuchhhh...
    Bin in Gedanken bei Euch und hoffe es geht Euch bestens!
    Gros bisous

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    1. Merci;) Geben dir ihre Adresse, dann könnt ihr auf eurer Thailandreise bei ihr vorbeischauen;P Schreib dir bald mehr, Riesendrücker!

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  6. Hey You, Excellent le reportage que vous faites sur ces contrées lointaines. Ca permet de s’évader un temps soit peu de la morosité parisienne.
    Enjoy

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