mardi 25 juin 2013

Les Philippines, merveille naturelle aussi époustouflante que fragile - Die Philippinen : Die Zerbrechlichkeit der Natur (20.4-12.5)

Depuis l’avion, Bangkok s’éloigne petit à petit. Nous survolons le Cambodge puis le Vietnam, comme pour dire au revoir à tous ces pays qui nous ont accueillis ces derniers mois. Un chapitre de notre voyage se referme, et un autre s’ouvre lorsque nous voyons se dessiner les premières îles de l’archipel au milieu d’une eau bleue marine.

Nous arrivons à Manille dans l’après-midi, et allons en ville pour chercher un hôtel, ce qui se révèle plus complexe que prévu. Après plusieurs essais, dont l’un dans un établissement qui louait en fait des chambres à l’heure, nous frappons finalement au Seamen’s Safehouse, où la dame nous dit qu’elle n’accepte normalement que les marins, mais qu’elle est prête à faire une exception pour une nuit et nous propose une chambre de la famille. Nous voilà donc marchant avec nos sacs à dos au milieu d’une dizaine de marins regardant la télé, et que donc nous dérangeons, pour nous rendre dans cette chambre minuscule et rebutante. A dire vrai, entre cette mauvaise expérience du logement, la pauvreté omniprésente, les odeurs nauséabondes émanant des rues et les innombrables bars à filles qui nous entourent, notre première impression de la capitale n’est pas très positive, aussi décidons nous de prendre un bus dès le lendemain pour Banaue.


Banaue se situe au Nord de Manille, dans la province d’Ifugao. Les Ifugaos, originaires de Taiwan, ont non seulement donné leur nom à la province, mais l’ont également rendue célèbre grâce aux exceptionnelles rizières en terrasses qu’ils ont mises au point et qui sont aujourd’hui classées au patrimoine mondial de l’humanité.


Après une nuit blanche passée dans un bus nous ayant secoués en tous sens, Banaue révèle toute sa splendeur au petit matin. Le village, encaissé dans les montagnes, est entouré de rizières en terrasses et de forêts. Alors que les alentours sont encore embrumés de la fraicheur nocturne, le soleil se lève sur ce paysage unique, où le travail de l’Homme se mêle à la beauté de la nature. Les villages environnants offrent également des points de vue de choix, et nous passons l’après-midi à marcher au milieu des rizières, accompagnés d’un petit garçon qui se fait notre guide après que nous l’ayons aidé à porter ses courses en haut de la montagne. Sa famille vit de la culture du riz, travaillant pour un propriétaire terrien, et son père sculpte de petits objets de bois afin d’assurer un revenu complémentaire. Leur maison faite de bois et de tôle est modeste mais chaleureuse, elle est en quelque sorte à leur image.


Nous continuons à visiter la région et nous éloignons de Banaue à tricycle, l’équivalent philippin du tuk-tuk. Après plusieurs heures de marche, nous tombons stupéfaits devant la beauté des rizières de Batad, réellement exceptionnelles, dont la forme rappelle un amphithéâtre géant. A l’intérieur, la chaleur est extrême, mais les dégradés de verts qui nous entourent nous aident à avancer, avant de finalement atteindre les chutes d’eau de Tappia, cadeau naturel où il fait bon se baigner après tant de marche.


Au cours de nos balades, nos yeux et nos oreilles sont également beaucoup tournés vers les Philippins, et nous découvrons petit à petit cette culture fascinante, mélange unique d’Occident et d’Orient. Ici, la grande majorité des personnes sont catholiques, parlent anglais, vont à la boulangerie et sont fans de basket, les héritages coloniaux laissés par quatre siècles d’occupation espagnole et 50 ans de joug américain sont donc ancrés profondément dans la culture du pays. Nous profitons encore quelques jours de cette région verdoyante, où chaque virage peut laisser apparaître un paysage aussi inattendu que merveilleux, avant de réaliser un marathon de 26 heures de bus pour rejoindre Legazpi, dans le sud de l’île.

Si nous nous sommes donnés tant de mal pour atteindre ce lieu, c’est qu’il abrite l’un des plus beaux volcans du monde, le timide Mt Mayon, dont le cône presque parfait aime se cacher derrière un léger mais continu voile nuageux. Mais nous avions également une autre bonne raison pour nous y déplacer.


Depuis Legazpi, nous rejoignons Donsol à quelques heures de route, d’où nous prenons un petit bateau qui nous fait naviguer dans les alentours. Soudain, le capitaine nous fait signe de sauter, et en quelques secondes, nous voilà dans l’eau. A peine mettons-nous la tête sous l’eau qu’une énorme masse s’avance sur nous, et nous avons juste le temps de nous écarter pour laisser passer le plus gros poisson du monde, un requin baleine. Long de plus de 10 mètres pour environ 15 tonnes, c’est un réel mastodonte à côté duquel on se sent minuscule. Bien qu’il soit inoffensif, sa taille impressionnante le rend effrayant, surtout lorsqu’il avance droit sur vous. Nous avons la chance de nager avec un second requin baleine, qui avance doucement afin de récolter le plancton et le krill dont il se nourrit. De retour sur le bateau, nous nous remettons de nos émotions, et avons du mal à réaliser que nous venons de nager au côté d’une des plus grandes créatures de l’océan.


Nous nous envolons ensuite pour une autre île, Bohol, au Sud de Luçon, et atteignons à la nuit tombée notre premier logement. Constitué de petits bungalows en bambou au-dessus de la mer reliés entre eux par des ponts de bois, et entouré de mangrove, le lieu a tout pour plaire. Cependant, à peine arrivés, ma jambe passe à travers le plancher et il s’en faut de peu pour que le reste du corps ne suive et que je ne finisse entièrement dans l’eau. Une fois installés, nous empruntons une petite route en terre pour rejoindre le village, et avons la surprise de voir des dizaines de lucioles scintiller dans les arbres, quel spectacle inattendu.


Après avoir nagé avec les plus grands poissons du monde, il était temps pour nous d’aller à la rencontre des primates parmi les plus petits et inhabituels qui soient, les tarsiers. Nous louons donc une moto pour parcourir l’île et rencontrons ces étranges créatures aux yeux hypertrophiés et aux pieds démesurément grands, qui sont les seuls primates à utiliser les ultrasons pour communiquer. Leurs mouvements sont lents et mécaniques, si bien qu’ils nous font penser à de petits robots lorsqu’ils tournent la tête à 180°. Nous sommes heureux d’avoir pu en voir, même s’ils étaient en semi-liberté, dans un sanctuaire accueillant les animaux blessés avant de les relâcher une fois remis sur pieds. En effet, voyant leur habitat réduit et menacés par les chats domestiques et le commerce illégal, plusieurs sanctuaires se développent afin d’accueillir cette espèce protégée.


Suite à cette rencontre insolite, nous continuons notre parcours à travers l’île et voyons bientôt pointer au loin de mystérieuses collines foncées, les fameuses Chocolate Hills. Ces anciens récifs coralliens, datant de plusieurs millions d’années, prennent en effet une couleur chocolat lorsque la végétation qui les revêt se met à brunir. La vue est époustouflante, mais les amateurs de vrai chocolat seront déçus, il n’y pas le moindre carré à l’horizon !


Pour atteindre Palawan, notre prochaine destination, nous prenons d’abord un bateau qui nous emmène à Cebu, et le long duquel des bancs de poissons volants surgissent de l’eau avant d’y replonger plusieurs dizaines de mètres plus loin. Il est surprenant de voir la distance que ces poissons peuvent parcourir en l’air, et nous passons une bonne partie du trajet à essayer de les photographier. Une fois à Palawan, nous allons directement à la pointe Nord de l’île, dans ce lieu exceptionnel nommé El Nido.


El Nido est un endroit fascinant, un village longeant la mer entouré de forêt dense, et faisant face l’archipel de Bacuit, constitué de plus de 100 îles. L’ensemble de la zone entourant le village a reçu le statut de zone protégée pour en faire le plus grand des sanctuaires marins du pays. Autant dire que ce lieu est réellement un nid pour une multitude d’espèces animales et végétales et un véritable paradis pour les amoureux de la nature.


Nous passons une semaine extraordinaire dans ce lieu qui l’est tout autant, et parcourons l’archipel à bord de bangkas, les bateaux traditionnels, pour en découvrir les mille et une merveilles terrestres et aquatiques. Les plages paradisiaques se succèdent, de même que les lieux idylliques et les sessions de snorkeling inédites, au cours desquelles le monde de Némo s’ouvre à nous pour nous laisser découvrir des coraux éclatants, lieu de vie d’une faune unique. Outre les innombrables poissons de récifs, nous tombons nez à nez avec un serpent de mer, apparemment l’un des serpents les plus venimeux du monde, mais non agressif, et avec une tortue de mer qui se promenait dans les environs. Je fais également des plongées uniques à l’intérieur de l’archipel, et rencontre des poissons invraisemblables, certains gigantesques, d’autres semblables à des pierres, d’autres abritant leurs œufs à l’intérieur de leur bouche, et plein d’autres créatures étranges comme des nudibranches, hippocampes et même un poisson-fantôme.


La description que l’on fait de ce lieu est à l’image de ce que nous y avons vécu, c’est-à-dire des instants magiques. Cependant, nous avons été choqués à plusieurs reprises de la manière dont la gestion environnementale du site est réalisée, et avons vu des tours opérateurs amener des touristes dans des lieux sensibles à l’intérieur desquels la plupart des personnes touchent le corail ou bien marchent tout simplement dessus, chose invraisemblable à l’intérieur d’une zone marine protégée. Ce triste constat n’en est qu’un parmi d’autres, et reflète bien la réalité de la situation aux Philippines, où la rentabilité économique immédiate prime sur une logique à long terme de préservation, qui permettrait pourtant de sécuriser dans la durée la principale source de revenu de la région, le tourisme.


Que ce soit à travers sa culture unique ou par ses inestimables richesses naturelles, nous avons été fascinés par le monde des Philippines, que nous n’avons finalement fait qu’apercevoir. Chacune des milliers d’îles recèle des merveilles à découvrir, et nous espérons que de réelles mesures seront prises et mises en place rapidement par les autorités afin de préserver ce milieu d’exceptions.



Eine Welt aus Ozeanblau und Schokoladenbraun? Wenn ihr das weite Meer und die hügeligen Landschaften der unzähligen Philippinischen Inseln seht, versteht ihr, was ich meine. Die Farbpalette ist damit aber noch lange nicht vollständig.  Um sie zu weiter auszufüllen, beginne ich mit den grünen Reisfeldern von Banaue im Norden der Hauptinsel Luzon.

Von Manila aus nahmen wir den Nachtbus, nachdem wir in der philippinischen Hauptstadt gerade mal eine Nacht verbracht hatten. Unser Zimmer in einem Hotel für Seemänner – wir dachten, der Name „Seaman‘s Safehouse“ wäre nur ein origineller Name, doch dort wohnten wirklich nur Seemänner; aber die Besitzerin ließ uns trotzdem eine Nacht dort wohnen – beherbergte nicht nur uns, sondern auch dicke, Ekel erregende Käfer... Mit denen wollten wir unser Zimmer nicht teilen, und zudem fühlten wir uns in der Stadt inmitten der heruntergekommenen Baracken, bettelnden Kinder und „Einstundenhotels“ nicht sehr wohl. Wir machten uns also schleunigst auf gen Norden.


Die Bilder im Reiseführer versprachen uns nicht zu viel. In Wirklichkeit sind die Landschaften noch viel beeindruckender, zumal wir zur richtigen Saison kamen, in der die Reisfelder kurz vor der Ernte stehen und somit um die Wette grünen. Wir wanderten zunächst durch die gebirgige Landschaft in die Nachbardörfer Bocos und Matanglag, auf der wir einem kleinen Jungen begegneten, dem Nico die schwere Tasche abnahm und den wir somit bis nach Hause begleiteten. Wir lernten einige seiner Geschwister sowie seine Tante kennen, mit denen wir uns sehr nett unterhielten. Ein erleichterndes Gefühl, endlich wieder mit den Menschen kommunizieren zu können, nicht so wie im restlichen Süd-Ost-Asien, wo die Leute kaum ein Wort Englisch sprechen. Auf den Philippinen sprechen selbst Kinder Englisch, da in der Schule die meisten Fächer auf Englisch unterrichtet werden, so erklärte uns die Tante des Jungen.


Die folgenden beiden Tage unternahmen wir Wanderungen mitten durch die sattgrünen Reisterrassen von Batad. Da sich die Reisefelder unter der prallen Sonne befanden und sich die Wege mittendurch schlängeln, war großes Durchhaltevermögen gefragt. Doch wir wurden nicht nur mit atemberaubenden Anblicken der üppig bewachsenen Reisfelder belohnt, die sich in Stufen über die Berghänge zogen, sondern auch mit dem Wasserfall Tappia am Ende des Parcours, in dessen kühlem Nass wir uns auffrischen konnten.


Nach einem Zwischenstopp in Manila fuhren wir mit dem Bus weiter nach Legazpi, der Ort, an dem der Mayon mit seiner vollkommenen Kegelform in den Himmel ragt. Vom Lignon Hill hatten wir einen einwandfreien Blick auf den Vulkan, welcher sich jedoch gern hinter dicken Wolkenschichten versteckt hielt. In den drei Tagen unseres Aufenthaltes ließ er sich nur an einem einzigen Morgen in seinem vollständigen Umfang blicken, doch da war die Freude groß.


Mit dem Minibus fuhren wir von Legazpi aus für einen Tag nach Donsol in der Hoffnung, mit Walhaien schwimmen zu können. Wir hätten das nicht getan, wären das nicht friedvolle und vor allem vegetarische Tiere. Walhaie sind die größten Fische der Welt (über 10m) und ernähren sich ausschließlich von Plankton und anderen Kleinstlebewesen. Gefahr bestand für uns also nicht. Mit dem Schiff fuhren wir hinaus auf das weite Meer und blickten uns nach hellblauen Flecken auf der Meeresoberfläche um, die das Auftauchen der Walhaie andeuten sollten. Und tatsächlich, schon einige Minuten nach der Abfahrt wurde „Whaleshark!“ gerufen, und mit Taucherbrille und Schnorchel sprangen wir ins Wasser, um unter uns eine gewaltige grau-schwarze Masse mit weißen Punkten zu erblicken. Wie aufregend, der Walhai war nicht einmal zwei Meter unter uns.

Wir sprangen noch einige Male ins Meer, ohne jedoch einen seiner Kumpanen zu erblicken. Wir steuerten schon auf das Land an, als plötzlich wieder jemand „Whalshark!“ rief. Diesmal konnten wir neben dem Walhai sogar einige Meter mitschwimmen, eine Begegnung, die man nicht alle Tage erlebt.


Nach der Bekanntschaft mit den größten Fischen der Welt war es an der Zeit, einem der kleinsten Primaten der Welt zu begegnen, dem Koboldmaki, auf Englisch „tarsier“. Dazu flogen wir auf die Insel Bohol. Mit seinen überdimensionalen Augen und langsamen mechanischen Bewegungen kann er unheimlich wirken, weswegen er in der Vergangenheit oft verfolgt und getötet wurde, doch wir fanden dieses kleine Fellknäuel sehr niedlich.


Auf Bohol befinden sich auch die Chocolate Hills. Meine Freude wurde jedoch schnell eingedämmt, da es sich hier nicht um richtige Schokolade handelt, sondern „nur“ um kahle Hügel, die braun wie Schokolade sind. Wir liehen uns ein Motorrad und fuhren zum Aussichtspunkt, von wo aus wir einen wundervollen Blick über die von Hügeln besetzte Landschaft hatten. Der Legende nach sollen die Chocolate Hills Überreste einer Schlammlacht von Riesen sein. Wie auch immer, leider verkauften sie nicht einmal kleine Schokoladenhügel als Souvenir, die in meinen Augen ein richtiger Verkaufsschlager gewesen wären.


Die letzte Woche unserer Reise durch die Philippinen verbrachten wir auf Palawan, einer sehr touristischen Insel, die für ihre Sandstrände und Tauchmöglichkeiten berühmt ist. Wir wohnten in der Nähe der Hafenstadt El Nido in einem kleinen Hotel, das von einem Ladyboy mit rosa Fingernägeln geleitet wurde, und verbrachten die Zeit am Strand, im Wasser und auf dem Schiff, um die umliegenden Inseln kennenzulernen, darunter Miniloc und ihre kleine und große Lagune, 7 Commando Beach, Helicopter Island, Hidden Beach und die Insel Matinloc mit ihrem Marienaltar. Beim Schnorcheln entdeckten wir nicht nur kleine Nemos, bunte Korallen und eine der giftigsten jedoch friedvollsten Wasserschlangen der Welt, sondern auch eine Wasserschildkröte in freier Wildbahn.


Nico ließ sich natürlich nicht entgehen, durch diese bunte Unterwasserwelt zu tauchen. Er reservierte bei einer akkreditierten Tauchschule, die von Oliver, einem Deutschen, geleitet wurde, eine Tauchexpedition, bei der ich auch mitfuhr, um wenigstens an der Oberfläche dabei zu sein. Der erste Tauchgang fand am Korallenriff West Entalula statt, der zweite an der Insel South Miniloc und der dritte  bei Cadlao Island, Orte, an denen er Krokodilfische, einen Ghost Pipe Fish und andere Unterwasserschönheiten sah.


Eine Sache, die uns in ganz Süd-Ost-Asien auffiel, ist das nicht vorhandene Umweltbewusstsein der Leute. An einem der Strände Palawans z.B. beobachteten wir, wie die Reinigungskräfte den Müll zusammenfegten und ihn samt Plastik einfach in den Sand einbuddelten! Aus dem Blick, aus dem Sinn, aber damit ist das Problem nicht gelöst… Auf den Bootsexkursionen zudem liefen die Touristen auf den Korallenriffen herum, als wären sie Gehwege, so dass die Korallen an diesen paradiesischen Orten immer mehr aussterben. Wir waren geschockt und gingen ins Touristenzentrum, wo Nico dem Vorsitzenden das Problem ganz professionell schilderte. Mal sehen, ob das was ändert. Das ist die Problematik in wenig entwickelten Ländern: Die Menschen nehmen den westlichen Lebensstil an und konsumieren Plastik, ohne die daraus entstehenden Müllprobleme lösen zu können oder gar ein Umweltbewusstsein zu entwickeln. Sehr traurig, wenn man sieht, was für Naturwunder dadurch zerstört werden.

Abgesehen davon waren die Philippinischen Inseln auf jeden Fall eine Reise wert. Man könnte hier Jahre verbringen und hätte dennoch nicht alles gesehen, so vielseitig sind die Landschaften hier. Und die Menschen scheinen trotz ihres niedrigen Lebensstandards von Fröhlichkeit bestimmt zu sein, sie sind freundlich und sehr hilfsbereit. Jedoch bildet ihr „Umweltunbewusstsein“ ein schwerwiegendes Problem, denn bereits jetzt sieht man die Schäden an der Natur verursacht durch ihre Lebensweise. Wenn sich an der Umweltpolitik nichts ändert, ist von all den Schönheiten in einigen Jahren nichts mehr übrig. Beeilt euch, die Philippinen zu besuchen, solange die Korallenriffe noch bunt und die Wasserschildkröten noch nicht alle am Plastik erstickt sind.

5 commentaires:

  1. Beau récit de votre séjour Philippin.
    Nous continuons à rêver à travers vos diverses expériences. Heu, maintenant INTERDICTION de nager avec des serpents vénimeux ou autre créature dangereuse...
    Gros bisous
    Mam

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  2. Je viens de regarder vos magnifiques photos et comprends votre enthousiasme face à ces paysages, faune et flore extraordinaires ! que la nature est belle - merci de nous en faire profiter.
    Gros bisous
    Mam

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  3. Que de merveilles inconnues que vous nous faites découvrir, une de ces parties du monde avec ses beautés naturelles qui j'espère restera intacte et protégée grâce à des témoignages comme les vôtres.
    Encore des frayeurs..... Si vous croisez encore une de ces bestioles qu'on appelle "serpent", pas de photos !!!!
    Bravo pour vos clichés, je suppose que l'Australie va encore nous offrir de jolies couleurs.
    Gros bisous
    Tata M

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  4. Un petit village du Vendômois, par un mercredi maussade : rien envie de faire... Besoin de soleil...
    Alors je consulte, comme bien souvent, votre site et là ! Tout s'illumine avec vos dernières photos des Philippines ! Elles sont magnifiques et tes commentaires, Nioo, sont toujours écrits avec autant de délice !
    Merci, merci de nous faire partager ces moments magiques !
    Gros bisous à vous,
    Nadine, cop' de Mam
    PS : coup de coeur pour ma part pour le tarsier !

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  5. Ici la ville commence à voir pointer les BOB, les tongues et les bermudas : ça sent les vacances et le gasoil ! On slalome entre les voitures (assis dans la notre !), on ralentit à l’approche des radars et on cherche avec malice la place de parking la plus proche de l'entrée du supermarché !
    J'ai essayé de vous faire rêver mais je ne pense pas que ça a marché... :-))
    Gros bisous à vous de nous et surtout continuez à consommer sans modération.

    Franck & Flo & Co

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